Assiste-t-on à la fin du centrisme ? L’ascension du RN est-elle résistible ? Quelle est sa réserve de voix ? Que feront les électeurs de la gauche modérée ? Qu’est-ce qui déterminera l’électorat pendant l’entre-deux-tours ?
Dans une étude importante à partir de données inédites, le président-fondateur de Cluster 17 Jean-Yves Dormagen identifie cinq coordonnées clefs sur une élection historique.
Cluster 17 , classé meilleur sondeur pour l’élection régionale en Catalogne
Cluster 17 se félicite d’être classé à la première place des sondeurs pour l’élection en Catalogne à la fois en pourcentage et en estimations de sièges, selon le site ElectoMania. Nos estimations, reconnues pour leur sérieux et leur qualité, confirment une fois de plus notre expertise dans le domaine.
Cluster 17 obtient la première place à la fois en pourcentage et en estimation de sièges grâce à sa méthodologie rigoureuse et la qualité de son travail.
Cluster 17 continuera à développer ses outils et ses méthodes en Espagne, en France et à l’international, dans un souci constant d’amélioration de la qualité de ses estimations.
Pour plus d’informations, veuillez nous contacter sur : [email protected]
En partenariat avec Marianne, Cluster17 a réalisé une expérience inédite: revisiter l’œuvre de Pierre Bourdieu, La Distinction parue en 1979 à l’aune des goûts et des préférences d’aujourd’hui.
En s’appuyant notamment sur une importante enquête d’opinion, l’institut Cluster17, publie pour Marianne une étude détaillée qui a permis d’attribuer pour chaque individu interviewé ses coordonnées en termes de capital culturel, capital économique et capital total.
Dans « La Distinction » de Pierre Bourdieu, l’auteur introduit une méthodologie novatrice axée sur trois formes de capital : économique, culturel, et total. Le capital économique se réfère aux ressources financières et matérielles, le capital culturel englobe les connaissances, compétences, diplômes et habitudes culturelles, tandis que le capital total combine ces deux dimensions. Bourdieu analyse comment ces formes de capital interagissent et influencent la hiérarchie sociale, démontrant comment les individus utilisent ces capitaux pour établir et maintenir leur position dans la société, tout en soulignant comment ces mécanismes contribuent à la reproduction des inégalités sociales.
De cette classification résultent au moins quatre espaces principaux et plusieurs intersections possibles:
Des individus dotés d’un capital total élevé, mais dont le capital économique est supérieur au capital culturel
Des individus dotés d’un capital total élevé, mais dont le capital économique est inférieur au capital culturel
Des individus dotés d’un capital total faible, mais dont le capital économique est supérieur au capital culturel
Des individus dotés d’un capital total faible, mais dont le capital économique est inférieur au capital culturel
Une majorité de Français préfèrent voir un film en salle qu’à domicile. C’est notamment le cas des plus jeunes et de gens de gauche. Ces derniers sont d’ailleurs les spectateurs de cinéma les plus assidus.
Pour autant, le public considère très largement que les prix des tickets de cinéma sont beaucoup trop chers. En outre, cette enquête révèle combien les valeurs des individus et les clivages qui traversent la société sont devenus un enjeu central de la consommation cinématographique.
Longtemps perçu comme un enjeu consensuel ou comme un particularisme nord-américain, le débat autour des enjeux environnementaux semble devoir s’imposer comme un clivage majeur en Europe et en France.
En s’appuyant notamment sur une importante enquête d’opinion, Jean-Yves Dormagen, président de l’institut Cluster17, publie pour Le Grand Continent et la revue GREEN une étude détaillée sur l’évolution des opinions européennes face à la crise climatique et aux politiques qu’elle induit.
L’irruption et le succès du Mouvement Agriculteur Citoyen (BBB) aux Pays-Bas en 2021, un parti qui s’est constitué sur l’unique sujet de la défense du modèle agricole hollandais, est une des manifestations les plus probantes d’une recomposition politique autour du clivage écologique. En France, le discours du Rassemblement National et des droites en général, se veut également de plus en plus offensif, dans un registre qui s’apparente davantage à du climato-relativisme qu’à du climato-scepticisme à la Bolsonaro ou à la Trump.
Les mesures de sobriété ainsi que les mesures prises dans le cadre du Green Deal européen rencontrent une vive résistance dans un large pan de l’opinion publique. Selon le professeur de science politique, celle-ci est amenée à se recomposer en deux « blocs » : l’un conservateur, identitaire, anti-écologiste et l’autre progressiste, multiculturaliste et écologiste.
Non seulement c’était mieux avant, mais c’est horrible aujourd’hui et ce sera pire demain. Un syndrome qui se rapproche de la nostalgie résumée par Barbara Cassin en ces termes : « Aujourd’hui, on est moins sûr que ce sera mieux demain. C’est hier que c’était mieux demain, et c’est de cet hier d’espoir que j’ai la nostalgie »[1]. Un état mélangeant déclin et nostalgie, un « pessimisme social » amplement analysé par Antoine Bristielle et Tristan Guerra[2]. A ce pessimisme social, se superpose selon notre étude un « ailleurisme », une représentation d’un idéal lointain ou proche (l’Amérique et la Suisse font figure d’eldorado) que la France serait en incapacité d’offrir.
Pour des raisons très différentes, jeunes et séniors, électeurs de gauche ou de droite, citadins et ruraux semblent très largement frappés par ce sentiment de pessimisme.
Même les points forts français énoncés spontanément par les sondés se réfèrent au passé du pays ou tout du moins à son patrimoine immatériel (culture, tourisme, gastronomie). Le système social est lui aussi un élément fondamental, très apprécié par les Français. Mais il est certainement perçu, comme le patrimoine, comme un élément menacé par l’époque et donc « à défendre ».
Le pessimisme à l’égard du pays, premier symptôme du déclinisme
Notre enquête vient confirmer de nombreuses études déjà réalisées sur le sujet. Il convient de distinguer le pessimisme individuel du pessimisme collectif. Le premier est plus relatif : 46% des sondés sont pessimistes sur leur avenir personnel. Un sentiment partagé en premier lieu par les classes populaires et par les électeurs identitaires, proches du Rassemblement National. A l’inverse les électeurs modérés et les classes supérieures sont relativement optimistes. Se dessine ainsi une des principales fractures entre les électorats de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron.
Le pessimisme collectif est lui beaucoup plus répandu : 83% des sondés sont pessimistes pour l’avenir de la France. Le sentiment est partagé dans toutes les classes d’âge, toutes les classes sociales et tous les électorats.
Seuls les électeurs d’Emmanuel Macron et de Yannick Jadot se distinguent par un optimisme relativement plus élevé. Notons que 1% des sondés seulement se dit « très optimiste » pour le pays, quand 35% se disent « très pessimistes ».
Il est d’ailleurs à noter que les Français s’inquiètent davantage pour les générations futures que pour eux-mêmes. Ils sont 70% à penser que leur situation est meilleure ou similaire à celle de leur parent mais dans le même temps, ils sont 77% à penser que les générations futures vivront moins bien que les générations actuelles.
« C’est mieux ailleurs », second symptôme du déclinisme
Un des enseignements majeurs de notre étude est l’agrégation du pessimisme et de « l’ailleurisme ». La déprime française est vécue intra-muros, ce n’est pas du nihilisme qui serait une forme de rejet ou de négation absolue du bonheur, ni un pessimisme universel qui consisterait à considérer que « le monde va mal ». Non, il existe bien un idéal, mais il est impossible de se le représenter ici, il se trouve extra-muros.
62% des sondés pensent ainsi qu’il existe un autre pays que la France où il est plus agréable de vivre. Seuls 16% estiment l’inverse. 22% ne se prononcent pas. Un sentiment répandu de façon transversal, partagé par tous les clusters mais de façon plus prégnante encore chez les électeurs les plus à droite. Alors qu’on s’imagine des citoyens plus « enracinés », plus à même de penser que la France est le meilleur du pays, ceux-ci sont au contraire les plus critiques et les plus tournés vers l’étranger.
Les électeurs identitaires sont donc à la fois les plus « pessimistes » et les plus « ailleuristes ». Ils sont de loin les plus touchés par le déclinisme.
De même, quand 54% des sondés estiment qu’il existe un autre pays que la France où l’on peut mieux réussir sa vie, environ 70% des électeurs de droite partagent ce constat. Comment ne pas voir dans les réponses des sondés, un déclin ou à tout le moins un « transfert civilisationnel », tel que le définit Régis Debray[3] au profit du monde anglo-saxon ?
L’Amérique du Nord (les Etats-Unis et le Canada) est en effet plébiscité comme la terre de tous les succès : ces deux pays sont de très loin les plus cités par les personnes interrogées comme étant les deux pays où l’on réussit mieux qu’en France. Le troisième pays est la Suisse qui fait figure également de véritable eldorado. Il est cité en premier comme pays plus agréable à vivre. Le pays de Rousseau ou celui de Roosevelt, les Français plébiscitent des pays qui se veulent des modèles de libéralisme, au sens global du terme, traduisant ainsi les tiraillements pluriséculaires des Français entre égalitarisme et libéralisme.
Le sentiment que « c’était mieux avant » est fortement corrélé à l’axe identitaire mais pas uniquement
Une large majorité de sondés, 71%, estime que globalement « c’était mieux avant ». Un sentiment partagé quasiment deux fois plus au sein de l’électorat de droite et « ni droite ni gauche », qu’au sein de l’électorat de gauche et du centre. Dans les clusters qui partagent un socle de valeurs hostiles à l’immigration, à l’islam et au « progressisme » culturel, les scores peuvent monter à presque 100%. C’est le cas chez les Identitaires et les Sociaux-Patriotes par exemple.
A l’inverse, au sein des clusters à fort capital culturel et au socle de valeurs progressiste, on est majoritairement en désaccord avec l’idée du « c’était mieux avant » : Multiculturalistes, Sociaux-Démocrates, Progressistes et Centristes sont environ un tiers uniquement à considérer que la France était mieux avant. Notons que ces clusters ont des valeurs communes mais diffèrent largement sur d’autres aspects de leur valeur et sur leur vote. Les Multiculturalistes sont favorables à un changement profond du système politique et économique et votent largement pour M. Mélenchon quand les Sociaux-Démocrates et les Centristes sont des réformistes qui votent majoritairement pour M. Macron. Résumons les choses ainsi : à gauche, la radicalité ne puise pas (complètement) sa source dans un sentiment décliniste. Chez les électeurs de droite, au contraire, c’est un puissant vecteur d’identification politique qui fédère électorats populaires « marinistes » et électeurs de droite « fillonnistes » et qui s’accroit avec la radicalité. Plus un électeur est conservateur, plus il est décliniste.
La crise identitaire, principale cause de la francetalgie
Si ces électeurs conservateurs et identitaires partagent quasi-unanimement le sentiment que le pays décline, se délite, se « défigure », c’est avant tout pour des raisons touchant à l’identité culturelle du pays.
Lorsqu’on interroge les Français en question ouverte sur ce qu’ils considèrent être le problème principal de la France, les occurrences relatives à l’immigration sont les plus nombreuses. La question sécuritaire est la troisième à être la plus citée. Le rejet des politiques et des élus en place s’exprime également de façon prégnante.
Le sentiment d’être menacé culturellement est encore plus probant lorsqu’on regarde les occurrences qui arrivent en tête sur ce que les sondés considèrent être le principal atout du pays. Les expressions relatives à la culture arrivent en tête, devant le tourisme, l’histoire et la gastronomie. Un patrimoine immatériel, chéri par une partie des Français et perçu comme « en danger », menacé entre autres par l’immigration.
Le système éducatif, incarnation du sentiment de déclin
Lorsqu’on interroge les Français dans le détail sur ce qui fonctionne mieux avant ou ailleurs qu’en France, des consensus se dégagent plus nettement. Si logiquement, la condition des femmes, celle des homosexuels ou l’accès à la culture sont des éléments plébiscités par les sondés comme étant mieux aujourd’hui qu’hier, d’autres aspects coalisent le pessimisme.
Ainsi, pour 85% des sondés, l’Ecole était mieux avant qu’aujourd’hui et pour 69%, le système éducatif est « mieux dans la plupart des autres pays » que la France. Si le constat est si dur, c’est parce que l’Ecole joue en France un rôle quasiment mythologique. L’état de l’opinion sur le sujet résonne si durement qu’on peut le rapprocher de celui qui suivit la défaite française en 1871 quand des intellectuels comme Emile Boutmy assimilait la défaite militaire « à la défaite de l’intelligence et de l’Université française ». Le clivage entre les tenants des « savoirs fondamentaux », notamment l’enseignement du grec et du latin et les défenseurs d’une pédagogie plus adaptée à la modernité était déjà tenace et fait écho aux débats actuels (uniforme, réforme du bac, etc.).
Si le sentiment que le système scolaire était mieux avant est légèrement plus répandu chez les électeurs de droite que ceux se positionnant à gauche, le constat est largement partagé. Certainement pour des raisons différentes : absence d’autorité et laxisme pour les premiers, reproduction des inégalités pour les seconds.
Quel récit politique dans une France nostalgique ?
Les résultats de cette étude peuvent sembler vertigineux tant le malaise français semble profond. On mesure les difficultés des politiques à gouverner et à offrir un récit audible pour les Français, eux-mêmes étant largement désignés comme responsable du malaise. Comme nous l’avons présenté, à partir du moment où le déclinisme est une rupture avec l’espace-temps, nous pouvons même nous interroger sur le fait de savoir si une partie des Français n’a pas fait sécession avec le réel. Dans ce contexte, toutes sortes de croyances, de récits mytho-politiques peuvent se développer. C’est sur ces frictions entre le réel souhaité et le réel vécu, entre le vrai et le faux, en particulier sur les questions écologiques, que prospèrent ces récits mis en exergue par une partie des nouveaux leaders mondiaux, comme nous l’avons déjà évoqué dans des études précédentes[4].
L’incapacité à se projeter « ici et maintenant » laisse probablement le champ libre à ceux qui proposent de regarder ailleurs et hier.
A moins d’un mois des élections espagnoles : si vous voulez tout comprendre aux enjeux et aux rapports de force qui traversent l’Espagne, retrouvez notre analyse dans Le Grand Continent.
Après la France et l’Italie, Cluster 17 grâce à sa méthode innovante de segmentation socio-politique, révèle les clivages d’un pays polarisé et fragmenté autour des questions d’identité.
Fondé en décembre 2021, Cluster17 a produit des sondages d’intention de vote en France pour l’élection présidentielle et les législatives tout au long de l’année 2022 ainsi qu’en Italie dans le cadre des élections générales. L’institut s’est démarqué par la qualité de ses résultats.
2eme meilleur institut français sur la présidentielle 2022 selon DataPolitics
Le site d’expertise politique Datapolitics a classé Cluster17 sur la 2eme marche du podium des instituts de sondage concernant la qualité de ses estimations lors de l’élection présidentielle.
L’importance des réseaux sociaux dans la grande bataille de l’attention ne fait aujourd’hui plus de doute, mais une question demeure : comment ces narratifs qui semblent prendre naissance sur la place numérique impactent-ils et infléchissent-ils les croyances des Français ? Sont-ils de simples bulles numériques entretenues de manière artificielle, ou ont-ils une réelle capacité de pénétration et de diffusion ? C’est ce qu’interrogent pour la Fondation Jean Jaurès, Jean-Yves Dormagen et Stéphane Fournier (Cluster 17, laboratoire d’étude de l’opinion), Justin Poncet, Anastasia Stasenko et Pierre-Carl Langlais (Opsci, institut spécialisé dans l’analyse socio-numérique), avec une méthodologie inédite visant à déterminer si les signaux identifiés en ligne éclairent et anticipent les phénomènes d’opinion qui traversent la société française.
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